14h30 'et' 16h30 : La caravane Théâtre, défilé joyeux et bariolé, se dirigera vers le marché, place de Verdun, et fera monter à bord tous les candidats à une visite insolite de Dupire !

15h 'et' 17h : Visite insolite et décalée de la Ferme Dupire...
Un lieu étrange... on y voit, de jour comme de nuit, des gens jouer de la musique, danser, déclamer, jouer, peindre, coller...
Des bruits insolites nous en parviennent : cris, chuchotements, bruits de foule ou grand silence.
On dit qu’autrefois des animaux et des hommes, des femmes, des enfants y vivaient...et qu’ils ont laissé leurs traces.
Venez découvrir ce que cachent ces lieux magiques (pour ne pas dire hantés!)
Notre guide, spécialement formé pour cette exceptionnelle occasion attendra avec vous, pour démarrer la visite, "La caravane" sur le parking extérieur. Attention, personnes sensibles s’abstenir, les anciens habitants rodent !"

14h à 19h : Exposition Photos Fred Ruffin -Regards- « Des années de spectacles... » dans la Galerie

15h-17h : Urpiade ; Atelier de peinture sur galet* pour les 1/100 ans

18h30 Concert : Rudété ; Trio guitare, batterie + son, vous propose de les accompagner dans un voyage musical à travers leurs compositions parsemées de multiples influences. Du Kraut kaléidoscopique !
Avec : Zeiloud et Guillaume Lefebvre

14h à 19h : Exposition  de photographies de Fred Ruffin -Regards- dans la Grange « Des années de spectacles... »

15h : "URPE" de et par Stéphanie Armingaud et Louise De Clercq - Collectif Re(Co)Naissance- une coproduction Thédac et La Note bleueQuelque chose ne va pas, quelque chose ne tourne plus rond,
il fait trop chaud ! Urpe, une histoire à plusieurs voix pour essayer de s'orienter dans un monde qui éco-déconne !
* nous retrouverons dans ce spectacle les galets peints la veille...

16h30 : Bal guinguette sur l’espace vert (avec possibilité de rapatriement dans la grange en fonction de la météo)
Avec Musique : Private Jo Ils avaient enchanté les participants au bal l'an dernier, alors ils reviennent ! Une petite ballade dans le répertoire des grands de la musette, histoire d'oublier nos soucisdans le flonflon ! On en a besoin !
Régie générale Technique : François Cordonnier

Un jour René Char a dit "La lucidité est la blessure la plus rapprochée du soleil."
- Ah bon ? Ce n'est pas Urpe ?
- Non. Urpe ne parle pas. Urpe se tait. Urpe a perdu sa langue.
- Mais ? N'entends-tu pas sa voix ?
- Si ….
- Quelque chose ne pas, quelque chose ne tourne plus rond, il fait trop chaud !
Urpe, une histoire à plusieurs voix pour essayer de s'orienter dans un monde qui éco-déconne !

De tout temps, le propre de l’Humanité a été de se raconter des histoires… On se raconte des histoires, pour s’endormir, pour informer, pour rire, pour se vanter ou se plaindre. Oralement, visuellement, l’être humain a ce besoin de raconter, d’écrire, de transmettre, de montrer…de rêver aussi. Mais dans un Monde régit par les écrans, les data, la maîtrise de l’image et des mots, le Livre pose question. À force d’évolution, la Société des hommes (surtout ceux qui la dirigent) s’interroge… Les livres…Utiles ? Obsolètes ? A quoi cela sert-il de stimuler l’imagination ou de "s’émotionner" sur le destin de tel ou telle héro(ïne) ? Les livres sont-ils des vecteurs merveilleux de savoirs, d’ouvertures et de libre-pensée ? D’admirables ou controversés condensés de la réflexion humaine ?... Ou plutôt d’ignobles exemples, d’abominables tentations à mal se comporter ? A penser autrement qu’il ne faudrait ? Et puis, ne sont-ils pas « dépassés » avec les nouveaux moyens de contrô… de communication aujourd’hui à notre disposition ?
Allez… Taisons-nous. Arrêtons de nous raconter des histoires et pour une fois, laissons le livre lui-même nous la raconter.

Un voyage dans le monde onirique du « nin vrai », du « pon croyape ». Quelques portraits de gens simples confrontés à des situations loufoques ou extraordinaires. Avec humour et émotion, dans cet univers décalé dont ils ont le secret, Christiane et Jacques nous proposent des « diries » dans une langue picarde qui, elle, est bien réelle. « Acoutez vir et laichez-vous inméner… ».

Profitant de la diversité des saynètes et des distributions, (se basant sur des premiers spectacles joués voici une dizaine d’années), la troupe du Réverbère et ce pour le plaisir partagé des comédiens et du public, avec de nombreuses nouveautés… recrée sur scène ce spectacle ! La faculté des Monty Python d'explorer les méandres du dialogue, des situations et des personnages a fait d'eux (entre autres) des précurseurs de notre humour moderne.. Amateur(e)s du « No sense » à votre agenda !

Une pensée pour Stéphane Verrue qui le premier nous donna le goût d’adapter au théâtre ce «Cirque volant»

Les contes sont au monde parce qu'ils sont nécessaires, comme l'air, comme la lumière du jour, comme les arbres (H . Gougaud)
Nous vous invitons à vivre une après-midi pleine de sagesse et d'humour pour vous émouvoir, vous faire rire et enchanter vos cœurs.

* A l'initiative de la Cie Dire-lire, la recette complète de ce spectacle sera reversée au « Restos du coeur » (en plus du ticket d'entrée, vos dons seront les bienvenus)

Ce spectacle est construit comme un road trip où l'on se demande, à l’instar
d’Emilie, ce qui est vrai ou rêvé. La voiture, marqueur du temps universel, est utilisée
comme décor central, mais surtout comme catalyseur des plongées dans ses
souvenirs. L’autoradio émet la bande son du voyage, et de sa vie. Quant aux
personnages, Christiane l’hôtesse d’accueil mystique, Marie-Christine la
dépanneuse, les deux gendarmes désoeuvrés, sa mère mi-loire-mi-femme ou son
père, Christian, sont tous incarnés par Emilie Deletrez, seule en scène.

Stéphane Jaubertie présente la vie comme une succession de rounds au cours desquels les individus reçoivent davantage de coups qu’ils en donnent. Tout cela aux dépens de l’estime de soi et du bien-être de chacun, quand la société nous commande d’aller à l’encontre de notre humanité profonde et de devenir le bourreau de l’autre.
Avec un humour glaçant et une saisissante maîtrise des situations théâtrales, il offre aux acteurs un terrain de jeu foisonnant et des figures aux nuances burlesques, absurdes et cyniques...
Et cela nous fait rire !

Stéphane Jaubertie présente la vie comme une succession de rounds au cours desquels les individus reçoivent davantage de coups qu’ils en donnent. Tout cela aux dépens de l’estime de soi et du bien-être de chacun, quand la société nous commande d’aller à l’encontre de notre humanité profonde et de devenir le bourreau de l’autre.
Avec un humour glaçant et une saisissante maîtrise des situations théâtrales, il offre aux acteurs un terrain de jeu foisonnant et des figures aux nuances burlesques, absurdes et cyniques...
Et cela nous fait rire !

Libre adaptation du roman autobiographique du même nom.  Charlotte Taffin - parce qu'elle arrive à un moment de sa vie où elle ressent la nécessité de faire le point-  met les mains dans son passé et nous confie ses souvenirs - heureux, malheureux ou traumatiques - en même temps que les chemins arpentés pour se relever. Au plateau, plusieurs personnages, plusieurs temporalités et pourtant une seule comédienne qui n'explique rien mais traverse, explore son passé pour tenter de mieux revenir au présent. Avec AUTHENTIQUE, la compagnie Promesse s'empare théâtralement d'une parole spontanée et altruiste qui aborde de façon personnelle des sujets sociétaux. Elle offre un spectacle, un chemin singulier qui mêle corps, texte et musiques.

Libre adaptation du roman autobiographique du même nom.  Charlotte Taffin - parce qu'elle arrive à un moment de sa vie où elle ressent la nécessité de faire le point-  met les mains dans son passé et nous confie ses souvenirs - heureux, malheureux ou traumatiques - en même temps que les chemins arpentés pour se relever. Au plateau, plusieurs personnages, plusieurs temporalités et pourtant une seule comédienne qui n'explique rien mais traverse, explore son passé pour tenter de mieux revenir au présent. Avec AUTHENTIQUE, la compagnie Promesse s'empare théâtralement d'une parole spontanée et altruiste qui aborde de façon personnelle des sujets sociétaux. Elle offre un spectacle, un chemin singulier qui mêle corps, texte et musiques.

Un voyage dans le monde onirique du « nin vrai », du « pon croyape ». Quelques portraits de gens simples confrontés à des situations loufoques ou extraordinaires. Avec humour et émotion, dans cet univers décalé dont ils ont le secret, Christiane et Jacques nous proposent des « diries » dans une langue picarde qui, elle, est bien réelle. « Acoutez vir et laichez-vous inméner… ».

Une vieille dame revient dans son village natal. Elle est richissime, le village est au bord de la faillite.
Drame déguisé en farce grotesque, « La Visite de la Vieille Dame » est une réjouissante réflexion sur l’hypocrisie, la mauvaise foi et l’individualisme dont l’homme est capable dès lors qu’on lui permet de ne pas en subir les conséquences et de « s’arranger » avec la morale.
A première vue, c’est l’histoire d’une vengeance... C’est « Kill Bill » dans une société rurale,
désespérément pauvre...

Une vieille dame revient dans son village natal. Elle est richissime, le village est au bord de la faillite.
Drame déguisé en farce grotesque, « La Visite de la Vieille Dame » est une réjouissante réflexion sur l’hypocrisie, la mauvaise foi et l’individualisme dont l’homme est capable dès lors qu’on lui permet de ne pas en subir les conséquences et de « s’arranger » avec la morale.
A première vue, c’est l’histoire d’une vengeance... C’est « Kill Bill » dans une société rurale,
désespérément pauvre...

Une vieille dame revient dans son village natal. Elle est richissime, le village est au bord de la faillite.
Drame déguisé en farce grotesque, « La Visite de la Vieille Dame » est une réjouissante réflexion sur l’hypocrisie, la mauvaise foi et l’individualisme dont l’homme est capable dès lors qu’on lui permet de ne pas en subir les conséquences et de « s’arranger » avec la morale.
A première vue, c’est l’histoire d’une vengeance... C’est « Kill Bill » dans une société rurale,
désespérément pauvre...

Tchekhov s'emporte et on en pleure de rire ! Sous ce titre se cache deux pièces en un acte de Tchekhov.

L'ours : Une jeune veuve qui reste cloîtrée pour pleurer un mari pourtant volage. Un créancier bourru qui réclame d’ être payé. Un serviteur espiègle mais dévoué. Un trio explosif pour une petite comédie endiablée.

La demande en mariage : L’amour triomphe toujours... Mais quand un trentenaire hypocondriaque vient demander la main d’une jeune fille pointilleuse à son père en plein deuil, l’affaire semble bien mal engagée. Entre joie, amertume et folie, l’explosion n’est jamais très loin...

Durée : 2 spectacles de 45 minutes chacun
Entracte : 20 minutes (Changement décors)

Une chambre dans un hôpital psychiatrique, quatre lits, quatre femmes. L'une d'entre elles vient d'arriver, endormie. Les trois autres cherchent à percer le secret de sa présence. Peu à peu, une histoire se révèle. Ces femmes, profondément fragiles, nous livrent à travers leur langage en lambeaux, boiteux, théâtral ou absent, des bribes de leur vécu.
« Rien. Elle demande rien. De la douceur. »

Une chambre dans un hôpital psychiatrique, quatre lits, quatre femmes. L'une d'entre elles vient d'arriver, endormie. Les trois autres cherchent à percer le secret de sa présence. Peu à peu, une histoire se révèle. Ces femmes, profondément fragiles, nous livrent à travers leur langage en lambeaux, boiteux, théâtral ou absent, des bribes de leur vécu.
« Rien. Elle demande rien. De la douceur. »

Dom Juan, accompagné de son fidèle Sganarelle, parcourt le monde à la recherche de toutes les jouissances et de toutes les aventures.
Done Elvire, sa dernière conquête, est prête à tout pour se venger d'avoir été abandonnée. Elle va déchaîner contre lui les forces de l'ordre et de la religion.
Qui l'emportera avec le plus de panache ? Au rythme de la musique de Mozart, cette adaptation de la pièce de Molière vous fera voir corsets, manteaux, capes et épées.

Tournée vers la joie et la comédie, elle n'en porte pas moins le drame qui approche, au lourd pas du Commandeur...
Lien bande annonce : https://www.youtube.com/watch?v=lqsjXUpw8ek

Le fascinant récit d’un homme aux prises avec un être invisible, inconnu, qui petit à petit, s’empare de ses pensées, de son âme, de sa vie entière. « Le Horla » de Maupassant, une plongée vertigineuse dans les méandres de la folie. Une œuvre fantastique entre réel et surnaturel qui parle de la peur devant l’incompréhensible et l’inconnaissable… explore les frontières floues entre réalité et démence...

Durée : environ 1h déconseillé aux moins de 12 ans.

La popularité de Génial Général Président étant en berne, il fomente une intrigue sur un simple glissement de mot. De calembours en quiproquos, il déclenche une guerre contre la grande girafe du sud. La spirale est lancée. La guerre civile fait rage, avec le soutien du ballet des conseillers politiques et de l’éminence grise « Deuxfrance ».
Une comédie cruelle et burlesque qui monte et démonte le fonctionnement d’une dictature.A partir de 13 ans

Un modeste brasseur propose un étonnant marché à l’un de ses ouvriers, écrivain surveillé et censuré.
L'aliénation qui frappe les deux personnages, perdus au milieu des contraintes d'un système autoritaire, prend une dimension universelle et révèle alors la complexité de toutes les facettes paradoxales de l’individu quand son existence est menacée.
Dans ce huis clos à l’humour grinçant, le déchirement entre les deux hommes, que tout oppose, interpelle et dérange : le spectateur oscille entre observation innocente et complicité morale dans cette tragédie humaniste, où la liberté est “en jeu”...

Un modeste brasseur propose un étonnant marché à l’un de ses ouvriers, écrivain surveillé et censuré.
L'aliénation qui frappe les deux personnages, perdus au milieu des contraintes d'un système autoritaire, prend une dimension universelle et révèle alors la complexité de toutes les facettes paradoxales de l’individu quand son existence est menacée.
Dans ce huis clos à l’humour grinçant, le déchirement entre les deux hommes, que tout oppose, interpelle et dérange : le spectateur oscille entre observation innocente et complicité morale dans cette tragédie humaniste, où la liberté est “en jeu”...

Un modeste brasseur propose un étonnant marché à l’un de ses ouvriers, écrivain surveillé et censuré.
L'aliénation qui frappe les deux personnages, perdus au milieu des contraintes d'un système autoritaire, prend une dimension universelle et révèle alors la complexité de toutes les facettes paradoxales de l’individu quand son existence est menacée.
Dans ce huis clos à l’humour grinçant, le déchirement entre les deux hommes, que tout oppose, interpelle et dérange : le spectateur oscille entre observation innocente et complicité morale dans cette tragédie humaniste, où la liberté est “en jeu”...