>14h : G1 (8/9 ans) - Les disparus du vol 3447

le vol 3447 en direction de Manhattan s'apprête à finaliser l'embarque. Les passagers se préparent au décollage. Quel serait leur sort si l'avion disparaissait en pleine mer ? Voilà l'histoire des disparu(e)s du vol 3447
avec : Hortense, Jacques, Jenna, Oscar, Chloé, Arthur, Hugo, Lilah, Naëlle, Alice, et Achille.

>15h15 : G2 (10/11ans) - Free talk – Plongez dans l'ambiance électrique d'un plateau tété ingérable. Comment assurer le show quand 2 individus viennent interrompre le live pour diffuser un message de

la plus haute importance... Free talk, l'émission qui libère la parole !
Avec : Bérénice, Rose, Arthur, Léna, Maïwenn, Thanina, Assia, Noémie, Louise, Sacha, Camille et Shuman.

>16h30 : G3 (10/11 ans) La Chaise

(avec des scènes inédites…) de Grégoire Kocjan, (ajouts de N. Micoud).
Peu de gens le savent mais notre destin ne tient qu’à une chaise… De l’ère préhistorique au temps des pharaons, de chez le roi à la Renaissance à la Révolution, de l’ère industrielle ou à bord d’une navette spatiale en passant par les embouteillages de 2024, redécouvrez l’histoire de l’humanité en suivant l’élément mobilier et tous ceux qui y déposent leur arrière-train.
Avec : Anna, Noémie, Elise, Chérine, Jules, Léa, Paul, Charlotte, Louis, Margot, Tesnime et Noémie (et oui, il y en a deux).

>17h45 : G4 (12/13 ans) - Terminus (avec des scènes en exclusivité mondiale…) de Grégoire Kocjan, (ajouts N. Micoud)

Deux écoliers grimpent dans le bus un matin. Au fil des arrêts, d’autres passagers montent à bord : une chorale, un cambrioleur, des handballeurs, un super-héros…Le voyage est de plus en plus fou ! Même le conducteur ne semble pas très sûr de son trajet. Mais où va ce bus à la fin ?...Quelqu’un peut-il nous expliquer ? Y a-t-il quelqu’un dans cette salle pour nous dire ce qui arrive maintenant ?
Avec : Pauline, Ayma, Mathys, Rose, Antoine, Brune, Matéo, Violette, Lily, Mao, Anouk, et Alix !

>19h : G5 (14/15 ans) - Notifications en attente (et autres histoires de mises en scène…) de Pascale Oiknine.

(Avec des extraits de La maison du bon repos de P. Soupault et de Pour rire, pour passer le temps de S. Levey. Scènes dites « de tuilages » N.Micoud, A. Duprez et C.Widmaier)
L’histoire se passe dans le Sud de la France (mais pas que). Des adolescents, en passe de devenir adultes, vont vivre, lors de leur année de Terminale, un événement dramatique. Les histoires se racontent alors à partir de mots, de citations ou de longs discours…
A travers leurs récits se pose la question de nos nouveaux moyens de communication, de notre possibilité d’être constamment connectés les uns avec les autres. Grâce à ce texte et des extraits d’autres œuvres, s’offre à nous une facilité déconcertante de livrer dans l’instantané, des sentiments, des états d’âme, de plus anodin au plus tragique, il est bien question ici de savoir dire les choses, même les plus graves.
Avec : Marius, Margot, Camille, Paul, Juliette, Alix, Axelle, Shana, Habib, Emma, Mathilde, Louise et Capucine.

De tout temps, le propre de l’Humanité a été de se raconter des histoires… On se raconte des histoires, pour s’endormir, pour informer, pour rire, pour se vanter ou se plaindre. Oralement, visuellement, l’être humain a ce besoin de raconter, d’écrire, de transmettre, de montrer…de rêver aussi. Mais dans un Monde régit par les écrans, les data, la maîtrise de l’image et des mots, le Livre pose question. À force d’évolution, la Société des hommes (surtout ceux qui la dirigent) s’interroge… Les livres…Utiles ? Obsolètes ? A quoi cela sert-il de stimuler l’imagination ou de "s’émotionner" sur le destin de tel ou telle héro(ïne) ? Les livres sont-ils des vecteurs merveilleux de savoirs, d’ouvertures et de libre-pensée ? D’admirables ou controversés condensés de la réflexion humaine ?... Ou plutôt d’ignobles exemples, d’abominables tentations à mal se comporter ? A penser autrement qu’il ne faudrait ? Et puis, ne sont-ils pas « dépassés » avec les nouveaux moyens de contrô… de communication aujourd’hui à notre disposition ?
Allez… Taisons-nous. Arrêtons de nous raconter des histoires et pour une fois, laissons le livre lui-même nous la raconter.

De tout temps, le propre de l’Humanité a été de se raconter des histoires… On se raconte des histoires, pour s’endormir, pour informer, pour rire, pour se vanter ou se plaindre. Oralement, visuellement, l’être humain a ce besoin de raconter, d’écrire, de transmettre, de montrer…de rêver aussi. Mais dans un Monde régit par les écrans, les data, la maîtrise de l’image et des mots, le Livre pose question. À force d’évolution, la Société des hommes (surtout ceux qui la dirigent) s’interroge… Les livres…Utiles ? Obsolètes ? A quoi cela sert-il de stimuler l’imagination ou de "s’émotionner" sur le destin de tel ou telle héro(ïne) ? Les livres sont-ils des vecteurs merveilleux de savoirs, d’ouvertures et de libre-pensée ? D’admirables ou controversés condensés de la réflexion humaine ?... Ou plutôt d’ignobles exemples, d’abominables tentations à mal se comporter ? A penser autrement qu’il ne faudrait ? Et puis, ne sont-ils pas « dépassés » avec les nouveaux moyens de contrô… de communication aujourd’hui à notre disposition ?
Allez… Taisons-nous. Arrêtons de nous raconter des histoires et pour une fois, laissons le livre lui-même nous la raconter.

Lorsque Caroline arrive en prison, Dominique y a déjà passé sept ans et prétend « se plaire en taule ». Pas question donc que qui que ce soit vienne la perturber ou changer ses habitudes.
Tout sépare apparemment ces deux femmes. Caroline, jeune bourgeoise « tombée » à la place de son patron véreux,Dominique, mère de famille dont l’existence a toujours
été difficile et douloureuse.
Sous haute tension, mais aussi avec beaucoup d’humour, une amitié profonde verra le jour.
Petit à petit, chacune livrera son secret…

Dans une maison de retraite, la vie s’écoule paisiblement entre repas, temps calmes, repas, bingo, temps calmes… Arrivées et …départs de certain(e)s résident(e)s. Entre Guy, Lucienne, Simone, Marcelle et autres Monique et René, venez découvrir l’envers du décor, lorsque personne ne passe les voir ou ne vient faire un reportage télé sur la vie de nos anciens. Comment ça personne ne vient jamais vous voir ? Ah bon ? Vraiment ?...Mais ce n’est pas de ma faute Huguette, mais laissez-moi enfin, je ne vous ai rien fait ! Mais…mais enfin lâchez-moi Huguette, lâchez-moi !!

Dans une maison de retraite, la vie s’écoule paisiblement entre repas, temps calmes, repas, bingo, temps calmes… Arrivées et …départs de certain(e)s résident(e)s. Entre Guy, Lucienne, Simone, Marcelle et autres Monique et René, venez découvrir l’envers du décor, lorsque personne ne passe les voir ou ne vient faire un reportage télé sur la vie de nos anciens. Comment ça personne ne vient jamais vous voir ? Ah bon ? Vraiment ?...Mais ce n’est pas de ma faute Huguette, mais laissez-moi enfin, je ne vous ai rien fait ! Mais…mais enfin lâchez-moi Huguette, lâchez-moi !!

Ils sont venus pour le carnaval. Alors ils se préparent, ils se déguisent. En prêtre, en chirurgien, en rugbyman, en commando du GIGN, en supporter…
Ils sont venus pour le rigodon, pour se bousculer et se serrer les uns contre les autres. Alors ils chahutent. Elles jouent. Ils et elles jouent à jouer. A tout inverser, dans un sens et dans l’autre.
Ils jouent aux comédiennes qui joueraient une prêtre, un chirurgienne, un rugbywoman, une commando du GIGN, un supportrice…
Ielles sont venu-e-s pour faire corps.

LA TECTONIQUE DES PLAQUES est un spectacle où les êtres humains dérivent tels des continents, cherchant à s’accrocher à quelque chose, à quelqu’un, à la beauté.
Mais c’est aussi un spectacle de sales gosses qui jouent au rugby avec des bébés, qui font accoucher des hommes et confondent « cohésion d’équipe » avec « bagarre générale ».

AVERTISSEMENT : ce spectacle contient des scènes de violence gratuite sur des singes en peluche.

Cendrillon, vous connaissez évidemment. Une méchante belle-mère, une fée, un prince charmant, les douze coups de minuit, une chaussure... vous vous rappelez, hein ? Nous vous en proposons une version légèrement différente, contemporaine et décalée d'où ressort l'univers délicieusement fantasque de Joël Pommerat.

La gare est un lieu mystérieux aux multiples histoires à la croisée de tous les destins. On y rencontre des rêveurs, des pressés, des endormis, des déprimés, des illuminés, des militaires, des excentriques ...et ...des amoureux.

Entre les passages de trains, trois personnages assis sur leur banc entretiennent une conversation pour le moins originale. Ils semblent se connaître, ou pas. Ils semblent savoir où ils vont, ou pas... Chassés croisés mouvants, jeux de séduction, interrogations sans fin, stratégies fragiles, troublés de temps à autre par la voix du haut-parleur de l’hôtesse qui s’immisce dans l’histoire.

Un huis clos explorant les rapports amoureux et filiaux, une vision acérée des relations qui lient ce trio infernal. Une comédie sentimentale touchante, tendre et nostalgique.

Un général et un soldat ! Une armée ?? Oui, une bien modeste armée. C'est le strict minimum pour être opérationnel. Mais nos militaires sont deux baroudeurs exceptionnels, heureusement ! Ils ont décidé de résister...résister ?...résister à qui, à quoi ?
Leur héroïsme échevelé pousse l'absurdité dans ses retranchements sublimes.
Une parabole par la guerre de l'ordre établi, de notre "modernité" et de ses contradictions.
Un bel exercice bien barré et jubilatoire écrit par Pierre Louki, un orfèvre en la matière...